Le Copacabana brésilien, c’est une plage de 4, 5 kilomètres
de long dédiée au football, à la fête et au tanga. Celui d’Elche-sur-Alzette à
d’autres centres d’intérêt : la fine cuisine et la gastronomie italienne
en tête !
Le maître-saveur de ce plan d’eau (à la bouche) est tombé dedans quand il était tout petit : Paolo Zizzi a contracté le virus gastronomique en analysant les plats concoctés par sa mamma. Il se lance très tôt dans le métier – à 14 ans – et apprend à jouer avec les saveurs dans la ville de Monopoli, dans les Pouilles. Suivent ensuite de nombreux stages et séjours dans des maisons plus prestigieuses les unes que les autres (le Kulm à Saint-Moritz, le Pavillon Ledoyen à Paris, etc.) qui vont permettre à notre chef de déceler les secrets de la cuisine méditerranéenne, la discipline culinaire, les arcanes de la cuisson des viandes, etc.
Après avoir maîtrisé la cuisine d’Emilie et d’Ombrie grâce à un séjour au restaurant Murador, à Luxembourg-ville (c’est d’ailleurs sous les conseils de Madame Rachogli, la patronne, qu’il marie une spécialité d’Ombrie – la truffe – avec les délices de la mer pour créer son fameux Risotto aux Saint-Jacques et truffes blanches), Paolo ouvre le Copacabana.
Pourquoi Copacabana ? Pour la créativité de sa cuisine, pour l’ensoleillé coin de verdure au milieu du parc de Esch-sur-Alzette, pour l’humble carte pimentée de saveurs hors du commun, pour les pâtes fraîches, le poisson frais arrivant directement du sud de l’Italie et, surtout, pour les fabuleux et exotiques produits du terroir se retrouvant dans les assiettes : Salsiccia la Carne di Chianina, la Fiorentina de Toscana, les tomates cerise de pacchino sicilia, …
Foncez de ce pas au Copacabana !
Le maître-saveur de ce plan d’eau (à la bouche) est tombé dedans quand il était tout petit : Paolo Zizzi a contracté le virus gastronomique en analysant les plats concoctés par sa mamma. Il se lance très tôt dans le métier – à 14 ans – et apprend à jouer avec les saveurs dans la ville de Monopoli, dans les Pouilles. Suivent ensuite de nombreux stages et séjours dans des maisons plus prestigieuses les unes que les autres (le Kulm à Saint-Moritz, le Pavillon Ledoyen à Paris, etc.) qui vont permettre à notre chef de déceler les secrets de la cuisine méditerranéenne, la discipline culinaire, les arcanes de la cuisson des viandes, etc.
Après avoir maîtrisé la cuisine d’Emilie et d’Ombrie grâce à un séjour au restaurant Murador, à Luxembourg-ville (c’est d’ailleurs sous les conseils de Madame Rachogli, la patronne, qu’il marie une spécialité d’Ombrie – la truffe – avec les délices de la mer pour créer son fameux Risotto aux Saint-Jacques et truffes blanches), Paolo ouvre le Copacabana.
Pourquoi Copacabana ? Pour la créativité de sa cuisine, pour l’ensoleillé coin de verdure au milieu du parc de Esch-sur-Alzette, pour l’humble carte pimentée de saveurs hors du commun, pour les pâtes fraîches, le poisson frais arrivant directement du sud de l’Italie et, surtout, pour les fabuleux et exotiques produits du terroir se retrouvant dans les assiettes : Salsiccia la Carne di Chianina, la Fiorentina de Toscana, les tomates cerise de pacchino sicilia, …
Foncez de ce pas au Copacabana !